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18 novembre, 2018

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Quand et comment sortir de l’économie de Boucles d’or ?

L’économie de Boucles d’or ? En anglais Goldilocks Economy, vient d’un vieux conte : « Boucles d’or et les Trois Ours ». Une petite fille (blonde bien sûr), Boucles d’or, entre dans une maison vide et y trouve trois bols de porridge. Elle mange le premier : « trop chaud », le deuxième : « trop froid », et le troisième : « Ahhh, juste comme il faut ». C’est donc « la bonne température » qu’il faut chercher, mais la petite fille a quand même mangé les trois bols des trois ours, puis s’endort, rassasiée ! Alors, quand les trois ours reviennent et voient les trois bols vides. Ils fouillent la maison. Boucles d’or s’éveille en sursaut, les voit, crie « au secours » et s’enfuit.

14 octobre, 2018

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Plongée boursière mondiale : qui peut l’arrêter ?

Deux personnes en théorie : Jerome Powell, le patron de la banque centrale américaine, en disant qu’il va ralentir ses hausses de taux, ou Donald Trump, qui craindrait que cette baisse des bourses ne détruise sa stratégie de croissance, à un mois des élections mid term. Mais ce qui s’est passé ces derniers jours montre qu’il n’y en a qu’une : Donald Trump.

16 septembre, 2018

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Merci Donald Trump !

Merci de nous ouvrir les yeux et de ne pas nous laisser bercer par tous nos politiques, entreprises et médias. Vous avez écrit « l’art du deal » : on comprend bien que, dans votre esprit, ce n’est pas celui de la diplomatie. On comprend même mieux, de jour en jour, ce que promettait ce livre : « La plupart des gens pensent petit, parce que la plupart des gens ont peur du succès, peur de prendre des décisions, peur de gagner… Et cela donne pour des gens comme moi un grand avantage (…) je ne reste pas concentré sur une opportunité ou une approche. Comme un jongleur, je lance un maximum de quilles en l’air et si je n’en rattrape qu’une, elle me rendra riche ».

24 juin, 2018

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Trump : art du deal ou du dédale ?

Trump a un point fort : être imprévisible. Il n’a cessé de le répéter dans sa campagne : les États-Unis sont trop prévisibles, ce qui les affaiblit dans les négociations. Pris dans leurs règles et lois, traités et amitiés, accords multiples, G7 et autres, plus les réseaux d’affaires et de production, ils ne peuvent bouger vite, a fortiori à contresens. Pas agiles, pas tactiques : un Gulliver enchaîné. Il faut casser cette logique. Etre imprévisible, c’est pouvoir aller aux deux extrêmes, et en même temps ! Kim Jung-un doit subir « le feu et la furie » de Trump, pour signer avec lui un accord le 12 juin ! Mais qui tire les ficelles ?